Paternité imposée et harcèlement moral dans le couple.
La vérité grace au test adn : présumé coupable et... présumée innocente !
Homme = présumé coupable.
Quand une femme tombe enceinte et "accuse" son ex- (compagnon, petit ami ou autre !) d'être le père de l'enfant, l'homme est considéré comme fautif : il est condamné à payer une pension à vie s'il refuse de se soumettre au test de paternité.
Il doit faire la preuve de son innocence. Sinon, il est considéré comme coupable.
Il doit il y avoir quelque chose que je n'ai pas bien compris dans le droit français.
Cela fait penser que ces hommes sont très manipulables quand il est question de sexe et de désir.
Et que ces femmes sont très pragmatiques.
De plus, c'est la crise. L'argent passe avant les sentiments, et avant tout. Alors...
Des hommes témoignent devant les caméras, le visage masqué. Honteux.
L'étrange impression d'être devant des victimes de viol.
Ces femmes ont fait le choix d'avoir un enfant : elles auraient pu prendre la pillule (elles l'auront sans doute fait croire) ou auraient pu avoir recours à une interruption volontraire de grossesse, à l'avortement.
Ces hommes subissent la situation et n'ont rien choisi du tout. Ils sont sidérés. Certains sont effondrés.
Quelle surprise de voir notre charmante Rachida apparaitre de nouveau dans la presse avec ce genre de titre :
Femme = présumée innocente.
La pensée unique du moment. Il faut se réjouir de la libération d'une otage, pardon, d'une prisonnière injustement accusée.
"Quid d'Israel Vallarta, le compagnon de Florence Cassez?
Celui qui a été présenté comme le complice présumé de Florence Cassez se trouve en théorie dans la même situation juridique qu'elle. Pourtant, sa situation est aberrante: il croupit dans une prison mexicaine depuis sept ans sans jamais avoir été présenté devant un juge ni entendu par la justice. "
Une lueur d'espoir !
Il semble heureusement qu'il y ait un début de prise de conscience de cette inégalité.
A ce propos, je vous invite à lire le livre de Mary Plard :
Un sujet encore tabou, en effet.
Pour défendre les hommes victimes, il serait assez facile de démasquer la perversité de ces prédatrices. Si j'étais avocat, je travaillerais aussi dans cette direction.
Pour détruire un homme, une femme perverse narcissique peut utiliser cette arme redoutable : la paternité.
Donner la vie à un être humain... pour mieux en détruire un autre !
N'oubliez jamais ceci : une harceleuse ne souhaite que rarement s'emparer des richesses d'un homme : elle veut surtout le voir s'apauvrir, perdre ses revenus, s'affaiblir.
Il n'y a aucun sentiment amoureux. Simplement un enjeu de pouvoir.
Jusqu'à quand allons nous donner carte blanche à ces femmes qui haïssent les hommes ?
A lire également :
http://olivierkaestle.blogspot.fr/2011/06/viol-genetique-et-libre-choix-sens.html